J’ai eu le grand plaisir de passer lundi soir en excellente compagnie : Isabelle Juppé et une dizaine de blogueuses québécoises, dont je faisais partie, se sont réunies — en compagnie de quelques hommes, dont certains auteurs du Pourquoi blogueur dans un contexte d’affaires — pour partager quelques impressions concernant l’époque numérique que nous vivons actuellement.
J’en ai profité pour me procurer une copie du livre d’Isabelle Juppé, La femme digitale. Un bouquin qui se lit très bien; j’ai parcouru plus d’une centaine de pages ce soir, le temps d’un aller-retour Rosemont /Guy.
Intéressant de voir à quel point son passage au Québec a marqué Mme Juppé et inspiré la rédaction de son livre. Je m’abstiendrai de commenter pour le moment, préférant prendre le temps de réfléchir un peu à ses propos.
Pour l’instant, je peux affirmer que l’historienne de formation que je suis a beaucoup apprécié le parallèle tracé entre l’invention de Johannes Gutenberg et la révolution numérique. J’ai également apprécié le clin d’oeil fait durant la soirée (et peut-être dans le livre – ça reste à voir) au rôle de la femme dans, d’un côté, l’organisation des salons d’autrefois et, de l’autre, la formation de communautés numériques modernes.
J’ai toujours dit que 3e mardi Third Tuesday Montréal représente pour moi la manifestation moderne des salons littéraires du XVIIe. C’est officiel, alors; je dois effectivement être une ‘femme digitale’.
À suivre.
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